Difficile de photographier le taureau de Wall Street, tout le monde veut poser en sa compagnie. Bel exemple du pouvoir toujours actuel du mythe du taureau. En bonus donc une belle touriste inconnue.
Lorsque, par une nuit d'hiver de 1989, le sculpteur Arturo di Modica a placé, en toute illégalité, sa statue à Wall Street, il a déclaré que son œuvre symbolisait "la force, le pouvoir et l'espoir du peuple américain pour le futur". Même si, depuis, les crises ont succédé aux crises, c'est encore à quelques mètres de là que se joue, dit-on, le sort du monde. En ce moment même ce sont les financiers de Wall Street qui mèneraient le bal dans la crise de la dette européenne...
Quant au peuple américain, il trime dur : à New York chaque jour des dizaines de milliers de manutentionnaires, cuisiniers, marchands ambulants, serveurs, trieurs de poubelles, éboueurs, nettoyeurs, gardiens en tout genre assurent à la perfection l'intendance d'une ville en perpétuelle effervescence. Quasiment tous afro-américains, portoricains ou émigrés de fraîche date.
Pas de doute, c'est un taureau. Avec celle de DSK, la plus célèbre paire de couilles de New York!
Comme un encierro immobile dans les rues de New York... le seul endroit de la ville où ça ne bouge pas.
4 commentaires:
Velonero: quel encaste, ce taureau? Sûr que ce n'est pas un becerro, avec de telles orphelines accrochées !
Un petit air de morucho quand même!
un semental de limousine plutot oui!
content de te relire velonero!
bon retour !
Merci Chulo, j'ai retrouvé moi aussi avec plaisir tes textes sur la guerre d'Espagne et Madagascar.
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