Le terrible premier novillo (arrivé quelques heures avant la novillada pour remplacer un novillo blessé par ses congénères) a jeté l'effroi dans la piste.
José Antonio Valencia montra envie et métier face à ses deux adversaires.
Il y eut un autre torero dans l'arène : Mathieu Guillon
José Rojo n'a pas démérité avec les tissus mais il arma le scandale avec les aciers.
Merci à Laurent Bernède pour ses photos.
(On peut cliquer dessus pour les agrandir)
1 commentaire:
Intéressants clichés remplis d'indices indiquant bien la psychose du chapitre précédent.
Ca devait etre quelque chose !!!
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