Il fut artiste, comme peut l'être un torero. Art du geste, du mouvement, volonté d'apporter une dimension supplémentaire à un sport qui, comme la corrida, est, avant tout, une affaire de combat. Mais les hommes ont aussi appétit de beauté et de lumière et les passeurs comme lui seront toujours précieux.
Sur cette magnifique photo de L'Equipe, on reconnait à droite d'André, Pierre Albaladéjo et Guy Boniface (France - Galles 1963).
Un livre : Denis Lalanne, Le temps des Boni, La Table ronde, 2002
Un film : Frank Nicotra, Le temps des Boni, 2003
Une entrevue : Actu Landes, 2016
1 commentaire:
Il est certain que nos yeux prenaient plus de plaisir à regarder des centres magiques, comme les Boniface, Jo Maso, Philippe Sella et tant d'autres que des bourrins survitaminés, style Danty, chouchou de l'arrogant et insupportable Galthié et adoré par le pitoyable nouveau public du rugby qui remplit les stades aujourd'hui.
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