Au même lieu, un méli- mélo de la prolifique production lithographique de Dali; on peut y voir entre autres les cinq gravures de la Tauromachie Américaine (1966) ainsi que le tableau Projet pour la Tauromachie Surréaliste (1966).
Parallèlement, l'Institut Cervantes expose la série des Nouveaux Caprices de Goya réalisés entre 1824 et 1828 lors de l'exil bordelais du peintre. Où l'on peut constater qu'il est des peintres qui vieillissent mieux que d'autres...
Salvador Dali Le picador (1966) gravure de la série La Tauromachie Américaine
2 commentaires:
tu veux dire que le plus jeune n'est pas le moins vieux ?
a mi, dali ni me mueva un pelo.
mais j'irai. pour le ciego de burdeos, el de los toros. notre paco goya.nos vemos alli ?
ludo
...ou que le plus vieux n'est pas le moins jeune.
Mais j'aime bien le Dali créateur d'images surréalistes.
Dans cette expo, les Dîners de Gala, espèces de chromos kitchs dignes du musée Goupil, m'ont enchanté.
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