vendredi 30 octobre 2009

Dali et Goya à Bordeaux

Jusqu'au 29 novembre, au Cellier des Chartrons, très intéressante exposition des 80 Caprices de Goya mis en miroir avec les mêmes 80 caprices revisités par Dali.
Au même lieu, un méli- mélo de la prolifique production lithographique de Dali; on peut y voir entre autres les cinq gravures de la Tauromachie Américaine (1966) ainsi que le tableau Projet pour la Tauromachie Surréaliste (1966).
Parallèlement, l'Institut Cervantes expose la série des Nouveaux Caprices de Goya réalisés entre 1824 et 1828 lors de l'exil bordelais du peintre. Où l'on peut constater qu'il est des peintres qui vieillissent mieux que d'autres...

Salvador Dali Le picador (1966) gravure de la série La Tauromachie Américaine

2 commentaires:

Ludovic Pautier a dit…

tu veux dire que le plus jeune n'est pas le moins vieux ?
a mi, dali ni me mueva un pelo.
mais j'irai. pour le ciego de burdeos, el de los toros. notre paco goya.nos vemos alli ?

ludo

velonero a dit…

...ou que le plus vieux n'est pas le moins jeune.
Mais j'aime bien le Dali créateur d'images surréalistes.
Dans cette expo, les Dîners de Gala, espèces de chromos kitchs dignes du musée Goupil, m'ont enchanté.