Un jour sans pour les novillos de Coquilla de Sanchez Arjona, bien présentés - magnifique le cinquième - mais sans le piquant et la variété de jeu qui avaient fait l'intérêt du lot de Mont de Marsan l'an dernier. Tous se retrouvèrent sans carburant à la sortie de l'unique pique. Certes le principe de la pique unique fit encore des dégâts, mais il y avait autre chose dont il est difficile de savoir s'il s'agissait d'un manque de caste ou bien de force physique.
Jour sans pour les novilleros. Ruben Pinar était aux abonnés absents. José Luis Rodriguez eut quelques détails vite oubliés après une multitude de coups d'épée. Quant à Roman Pérez il se montra comme un véritable sin verguenza. Il toréa son premier comme un bûcheron avant de faire assassiner éhontément le sixième par son picador.
Les trois novilleros sortirent des arènes sous un silence pesant : un jour sans pour le public aussi.
1 commentaire:
de acuerdo companero,horsmis la monopique on s'est ennuye ferme avec des novilleros lassants desabuses et in fine proches de l'irrespect.
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