Peu nombreux sont les élevages de garantie. Parmi eux on peut compter sur Dolores Aguirre, sur Victorino Martin ou Baltasar Iban, mais aussi sur José Escolar Gil. A Madrid, Pamplona régulièrement, à Hagetmau l'an passé, à Mont-de-Marsan tout dernièrement, ils ont permis des tardes de grande vibration. Espérons que les novillos qui sortiront à Roquefort le 15 août seront à la hauteur de leurs frères. D'autant que du côté des hommes le cartel parait solide avec deux novilleros expérimentés : Jesus de la Calzada et Cid de Maria, et une jeune promesse : Alvaro Serrano, récent vainqueur du circuit des novilladas de la Communauté de Madrid.
L' ŒIL CONTRAIRE
un regard sur les toros (y cositas mas)
samedi 2 août 2025
Les novillos de José Escolar à Roquefort
Peu nombreux sont les élevages de garantie. Parmi eux on peut compter sur Dolores Aguirre, sur Victorino Martin ou Baltasar Iban, mais aussi sur José Escolar Gil. A Madrid, Pamplona régulièrement, à Hagetmau l'an passé, à Mont-de-Marsan tout dernièrement, ils ont permis des tardes de grande vibration. Espérons que les novillos qui sortiront à Roquefort le 15 août seront à la hauteur de leurs frères. D'autant que du côté des hommes le cartel parait solide avec deux novilleros expérimentés : Jesus de la Calzada et Cid de Maria, et une jeune promesse : Alvaro Serrano, récent vainqueur du circuit des novilladas de la Communauté de Madrid.
mardi 29 juillet 2025
La despedida montoise de Fernando Robleño en images
samedi 26 juillet 2025
Santander
mardi 22 juillet 2025
Ma Madeleine 2025 (suite)
lundi 21 juillet 2025
Ma Madeleine 2025
Encore une feria médiocre, plombée par les corridas toreristes (décidément dans ce domaine les Montois n'y arrivent pas), sauvée en partie par les deux courses d'origine Albaserrada (Escolar Gil et Victorino) et le premier jour par un grand torero (Daniel Luque).
lundi 14 juillet 2025
Céret 2025 : corrida (Christian)
Toujours du travail sans filet avec zéro notes prises!!!
Ah si tous les Sobral avaient été comme le premier! Une synthèse de toro brave avec de la noblesse à revendre et la bravoure idoine.....mais ce ne fut pas le cas. La carrosserie était belle mais, comme trop souvent, la volonté manquait et la génuflexion fut de mise.
Et bien, malgré cela, on a réussi à ne pas (trop) s'ennuyer. Pourquoi ? Parce que malgré leur carences on sentait que les bichos avaient quelque chose à dire pour peu que les hommes les comprennent ou leur laissent du champ. Mais ça c'était trop demander à deux vieux de la vielle qui n'étaient pas venus pour se faire casser la gueule à bientôt cinquante ans non mais!
La jeune génération ne fut pas en reste pour y aller prudemment. Je ne suis pas étonné, j'ai déja vu JDC être capable de tirer au flanc alors qu'il clame partout qu'il en veut et demande même du rab.
Rendons leur justice ils se sont tous sorti les doigts (un peu) à leur deuxième.
Je n'oublierai pas ce premier gâché par Curro qui a vite capté qu'il fallait expédier dare dare ce malotru ... tellement dommage.
Et l'autre phénomène inoubliable c'est cette étonnante fixité qu'ils avaient. Quand ils étaient focus sur quelque chose ou quelqu'un ils ne le lâchaient plus. Celui qui a sauté dans le callejon le voulait depuis un moment ce saut ça se voyait tellement. Intéressants ces toros je le redis.
Ce qui ne fut pas très intéressant non plus c'est la manière dont Curro s'empara de son poste de directeur de lidia pour ne rien en faire alors qu'il y avait bien des choses à dire lors du tercio de pique mais là aussi ce fut plutôt à la va comme je te pousse.
Une seule belle baston avec le un dans ce tercio, les autres il y avait l'envie mais pas le poder.
Sol y sombra comme ce matin, lleno de chez lleno et un public bavard et irrespectueux.
On reviendra ? Évidement!!!
Merci Céret pour le boulot accompli.
Et maintenant l’Espagne !!!! Doucement l'ami, encore deux semaines.
Christian
dimanche 13 juillet 2025
Céret 2025 : la novillada (Christian)
Céret débute ma saison des corridas en vivo et j'étais chaud hier surtout que Saltillo m'attendait.
On sait ce qu'il en fut, Gaïa nous rappela qu'elle était la patronne et qu'elle se souciait comme d'une guigne de la dixième année de mon aficion!
Circulez il n'y a que de l'eau à voir !
Il se disait ce matin que les saltillo rentraient au campo, que l'adac ne paierait que le transport et que le ganadero vendrait à qui le voudrait le lot épargné par la pluie.
Cas de force majeure. Le règlement le stipule, paraît-il.
Novillada de la ganaderia Quintas dont j'ai constaté que beaucoup la mélangeaient avec celle de La Quinta.
À ne surtout pas confondre.
Ganaderia plutôt inconnue au bataillon (au moins de moi) que le président Garrigue tenait absolument à nous présenter tout en précisant bien qu'il marchait sur des œufs.
Météo en mode sol y sombra. Grosse proportion de quadras quinquas et plus si affinité. Trop peu de jeunes à mon goût.
Quasi lleno.
Qu'ai je vu?
Niveau présentation pour moi ce n'est pas pour Céret où l'on attend toujours des bichos ++.
Ils pouvaient être encastés, manquant tous de noblesse sauf un ...on y reviendra, parfois compliqués et manquant tous de transmission.
Les hommes ?
Jésus de la Calzada n'a pas su renouveler sa prestation de l'an passé malgré cette personnalité toujours à part. D'autant qu'il a pris une volée à son deuxième qui l'a séché et lui a ôté tout moral.
Pepe Luis Cirugeda. Qui? D'autant que le malotru tenta à son premier une connexion putassière au gradin. Ça ne marche pas à Céret ça jeune homme! À oublier bien vite.
La bonne surprise vient du local de l'étape Mario Vilau, de la fraîcheur, zéro complexe et un joli festival à son deuxième qui nous montre une charge et une noblesse dont il fut seul détenteur et que je ne lui aurais pas soupçonné.
On s'endormait gentiment mais ce sixième nous a remis dans le game.
Une oreille par toro pour le Catalan qui mériterait le feu d'un peu plus de projecteurs.
Vous noterez que le point important de Céret j'ai nommé le cheval n'est pas évoqué tellement c'était pitoyable.
Bel exercice de style de votre serviteur qui écrit cette chronique sans consulter ses notes. Notes pas écrites, mon stylo m'a lâché au paséo... quand ça veut pas.